Lors de mes flâneries solitaires aux Buttes-Chaumont, j’aimais la compagnie des arbres tutélaires qui me regardaient passer. De leurs bras allongés, ces géants veillaient sur moi. Et à l’heure où le soir transpirait du noir, tournée une fois encore vers eux, quel émoi d’entrevoir leurs silhouettes parmi les ombres dansantes !