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un caprice m’a pris de modifier mon itinéraire. Mon aversion pour la routine me le réclamait à grands cris. Était-ce l’appel du grand large ? Moi qui souffrais de tourments non imaginaires, m’immerger au sein de rues inconnues me paraissait revivifiant. Allais-je m’inquiéter ? On se perd en plein bois mais à Paris, l’unique risque était de m’égarer entre deux métros. Il importait de repousser mes limites sans mettre en jeu mon destin. Au gré d’une avancée solitaire, du nouveau allait surgir au long d’un parcours initiatique non fixé d’avance. Cet inédit était à saisir non en rêve, non issu du triste oubli mais dans la pleine réalité. Pareille aventure, signe de délivrance, séduisait mon côté audacieux.
Disposée à me fier à mon inspiration, j’ai élu une voie en retrait de mon parcours habituel. Ainsi débutait mon terrain d’élection. D’un pas confiant, j’ai avancé sous une lumière blafarde de fin d’automne. La ville exerçait alors sur moi un attrait particulier. C’était mon choix, ces maisons gagnées par le sommeil, resserrées sous la grisaille du soir. Une délicate mélancolie émanait des façades suspendues dans l’attente de la nuit.
Cependant, aux abords de la morte saison, il arrive qu’une ombre épaisse s’abatte comme un rideau de scène en guise de protestation. Alors le visible a pris le parti de disparaître. Sur-le-champ, un froid vif et piquant m’a pénétrée. Certes, la ville venait d’allumer ses lampadaires mais d’un éclat affaibli comparé à mon parcours habituel. Faisait-on des économies d’énergie par ici ?
Dans la rue suivante, le trottoir exigu empêchait tout croisement. Mais comme il était désert, j’ai voulu partir en quête d’énigmes inscrites quelque part. Paris dit-on regorge de trouvailles insoupçonnées. Sur mon chemin, j’espérais rencontrer un détail hors du commun. Était-ce un désir trop grand ? Aux prises avec le noir inconsistant, je scrutais en vain les façades figées dans un silence que je craignais d’interrompre. Une cécité occultait mon regard et recouvrait les apparences. Dans le labyrinthe où je m’étais insinuée, rien ne retenait mon attention.
Inquiète, j’ai poursuivi ma quête solitaire, méfiante à la rencontre de soupiraux à la bouche amère. Les portails clos dérobaient je ne sais quels mystères. Dans les rares laissés ouverts, des masses d’ombres répandaient la désolation. J’ai bien tenté une fois de m’y approcher, mais mon effroi dépassait mon audace. Je craignais d’entrevoir une anomalie propre à défier toute vraisemblance.
Vaille que vaille, j’ai poursuivi ma marche dans la nuit isolée. Mais à force d’avancer, ma crainte s’est accrue. Les pas prudents, je ralentissais à tout bruit suspect. À l’écoute d’un gémissement, je frissonnais. Effrayée à la vue des formes fantomatiques se mouvant à la clarté des lampadaires, je changeais de trottoir.
Mais qu’étaient ces prétendues menaces au regard de vrais dangers mortels ? Garder la tête froide éviterait à mon jeu d’aventurière de virer au drame. Pour me ragaillardir, j’ai ravivé en moi un tableau d’antan. Quelle félicité, cette ancienne escale avenante couchée sous les ombrages ! Le chant des cigales animait cet enclos précieux logé au cœur d’une quiétude sereine. Il revêtait la beauté d’un rêve, ce lieu idyllique épinglé dans ma mémoire. Un apaisement pour l’âme errante.
Mais ces promesses, que sont-elles devenues ? Aux teintes vite de s’affadir pour s’effacer en laissant en moi un sentiment de frustration. Le même ressenti en fin d’histoire manquée. Y avoir goûté un instant, piètre consolation ! La terne réalité me renvoyait à mon mal-être.
Dépitée, j’ai tenté une fois encore de repérer un détail particulier en ce concret inhospitalier. Mais au long des rues mal éclairées, les façades paraissaient des clones. Nourrie en déceptions, je n’étais guère choyée en agréments. Évanoui, mon enthousiasme de flâner au petit bonheur. Abolie, ma soif d’étonnements heureux. Point mouvant, mon déplacement paraissait sans fin. Les rêveries éparpillées, le courage à rude épreuve, étais-je vouée à arpenter indéfiniment un désert inhabité d’asphalte ?
En ce cas, continuer était malavisé. Mais pouvais-je battre en retraite ?
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Incertaine, j’ai arpenté un espace insensible où rien ne se détectait en clair. En moi survivaient des pensées obscures. Dieu sait où cette marche nocturne m’entraînait. Sans cesse surgissait une rue trompeuse pour me perdre encore. Lorsque je m’y aventurais, l’angoisse me prenait d’aboutir sur un cul-de-sac. Apeurée, je me retournais parfois, croyant avoir perçu un bruit de pas. Mais nulle ombre errante dans la nuit. Or, j’aspirais au vivant tant l’ignoré m’effrayait. Pouvais-je renoncer au monde auquel j’appartenais ?
Tant bien que mal, j’ai poursuivi mon avancée au sein d’une nuit insondable. Et si le jour n’allait jamais reparaître ? Friande de hasard, celui-ci s’était retourné contre moi. Fragment sans repères, j’allais à la dérive à travers des rues perfides. Une fuite perpétuelle hors du temps, hors du monde vivable. Et en mon souffle, que d’angoisse à vaincre ! L’envie me prenait d’appeler pour donner voix au silence. Mais que vaut un cri perdu dans la nuit ?
À force d’insistance, l’aversion m’a gagnée pour un lieu sans issue indigne d’exister, en marge de la vraie vie. Étais-je prédestinée à m’égarer au sein de rues maudites, incapable d’en échapper comme dans un songe ? Ma crainte était d’affronter la nuit sans fin, la dernière où je devais me dissoudre. Allais-je finir sur le trottoir, exposée aux pires infortunes ? Là, étendue, le regard fixe, les mains ouvertes sur le vide, adieu, pensée vagabonde ! Déjà, mon corps parcouru de frissons glacés, mué en glaçon me paraissait étranger. Qui sait si je n’allais pas finir en glacier ? Tremblante, en agonie, j’ai cru percevoir un murmure : « Poursuis ta voie ! » En dernier recours, j’ai résolu d’y souscrire.
Au moment d’atteindre un dédale de ruelles douteuses, j’en ai élu une au hasard. Triste initiative, liberté mal inspirée ! À peine ai-je mis le pied dans ce qui tenait du coupe-gorge que les signes visibles se sont effacés. Pas même une silhouette de chat errant. Une ombre calcinée aveuglait la réalité. Tout était noir, trop noir comme si j’avais les yeux bandés. Avais-je connu une nuit semblable ? Dans ma marche au jugé, les parois taciturnes, noyées d’obscurité, quelle terreur de les effleurer par mégarde ! Loin d’être complices, les ténèbres me traitaient en adversaire. Allaient-elles enfanter des monstres goyesques ? Rien donc à déchiffrer mais rien non plus à percevoir dans une voie aux codes inconnus. Le silence s’imposait, infiniment présent, un silence déferlant qui neutralisait ma raison. En butte à des peurs d’enfant, comment survivre au sein d’un univers sourd et aveugle ? Au demeurant, même une voie tragique a sa raison d’être. La certitude que la mienne aboutissait quelque part m’a insufflé la force de continuer.
Mais au bout de la ruelle, quel désarroi de ne plus sentir l’asphalte sous mes pieds ! J’ai eu alors la sensation de descendre, descendre au fond d’une zone morte. Mes pieds ont buté à la fin sur un chaos inerte. D’abord, ce monde inférieur m’est apparu indéchiffrable. Sans lumière, tout n’est-il pas amalgame, confusion inimaginable ? Comment saisir l’intérêt de cette brèche où j’avais abouti par erreur ? À moins de servir de dernière demeure. À cette idée, la panique s’est emparée de moi. Malheur ! je venais de franchir un cimetière funeste tapissé de silence. Mes pieds broyaient des ossements humains. Au-dessus, l’air ouateux étendait son drap mortuaire. Et si je croisais un fossoyeur de l’ombre, il me prendrait pour une dépouille dans le noir. Comment chasser de moi l’épouvante d’être enterrée vive dans un trou creusé pour me faire disparaître ? Ensevelie dans l’anonymat, on laisserait choir sur moi une pierre anonyme. Impossible de calmer mon effroi à l’idée d’y séjourner à jamais, dépossédée d’existence ! Châtiée pour mon inconscience, tout ce qui me touchait n’allait-il pas mourir avec moi ?
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À force d’insistance, l’aversion m’a gagnée pour un lieu sans issue indigne d’exister, en marge de la vraie vie. Étais-je prédestinée à m’égarer au sein de rues maudites, incapable d’en échapper comme dans un songe ? Ma crainte était d’affronter la nuit sans fin, la dernière où je devais me dissoudre. Allais-je finir sur le trottoir, exposée aux pires infortunes ? Là, étendue, le regard fixe, les mains ouvertes sur le vide, adieu, pensée vagabonde ! Déjà, mon corps parcouru de frissons glacés, mué en glaçon me paraissait étranger. Qui sait si je n’allais pas finir en glacier ? Tremblante, en agonie, j’ai cru percevoir un murmure : « Poursuis ta voie ! » En dernier recours, j’ai résolu d’y souscrire.
Au moment d’atteindre un dédale de ruelles douteuses, j’en ai élu une au hasard. Triste initiative, liberté mal inspirée ! À peine ai-je mis le pied dans ce qui tenait du coupe-gorge que les signes visibles se sont effacés. Pas même une silhouette de chat errant. Une ombre calcinée aveuglait la réalité. Tout était noir, trop noir comme si j’avais les yeux bandés. Avais-je connu une nuit semblable ? Dans ma marche au jugé, les parois taciturnes, noyées d’obscurité, quelle terreur de les effleurer par mégarde ! Loin d’être complices, les ténèbres me traitaient en adversaire. Allaient-elles enfanter des monstres goyesques ? Rien donc à déchiffrer mais rien non plus à percevoir dans une voie aux codes inconnus. Le silence s’imposait, infiniment présent, un silence déferlant qui neutralisait ma raison. En butte à des peurs d’enfant, comment survivre au sein d’un univers sourd et aveugle ? Au demeurant, même une voie tragique a sa raison d’être. La certitude que la mienne aboutissait quelque part m’a insufflé la force de continuer.
Mais au bout de la ruelle, quel désarroi de ne plus sentir l’asphalte sous mes pieds ! J’ai eu alors la sensation de descendre, descendre au fond d’une zone morte. Mes pieds ont buté à la fin sur un chaos inerte. D’abord, ce monde inférieur m’est apparu indéchiffrable. Sans lumière, tout n’est-il pas amalgame, confusion inimaginable ? Comment saisir l’intérêt de cette brèche où j’avais abouti par erreur ? À moins de servir de dernière demeure. À cette idée, la panique s’est emparée de moi. Malheur ! je venais de franchir un cimetière funeste tapissé de silence. Mes pieds broyaient des ossements humains. Au-dessus, l’air ouateux étendait son drap mortuaire. Et si je croisais un fossoyeur de l’ombre, il me prendrait pour une dépouille dans le noir. Comment chasser de moi l’épouvante d’être enterrée vive dans un trou creusé pour me faire disparaître ? Ensevelie dans l’anonymat, on laisserait choir sur moi une pierre anonyme. Impossible de calmer mon effroi à l’idée d’y séjourner à jamais, dépossédée d’existence ! Châtiée pour mon inconscience, tout ce qui me touchait n’allait-il pas mourir avec moi ?
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Dehors, les yeux mi-clos, j’ai humé un ciel assoupi. Ses vapeurs traînantes s’alliaient à ma léthargie. Mais un vent inquisiteur passait par là. À peine a-t-il soufflé sur moi que bien réveillée, le brouhaha de la rue est venu me troubler. Sur le trottoir gisaient des feuilles errantes. Les arbres étourdis avaient tort de se dévêtir en plein trottoir. Mais comment maîtriser les saisons ? Plus loin, je me suis arrêtée court. Au sol claudiquait une vieille corneille famélique auquel nul ne prêtait attention. Moi qui chérissais les oiseaux, cette scène m’a fendu le cœur. Mais évanoui le temps où je veillais sur leur existence organisée en rase campagne. Aujourd’hui, je devais passer outre et trottiner jusqu’à ma destination.
Au détour d’une rue s’est profilée la bâtisse frangée de nuages sur un fond bleu layette. Ma mauvaise vue la croyait vaporisée en un flou délicat. Mais mon approche en a révélé la laideur. Rien à voir en principe avec sa vie interne. Le seuil franchi, d’humeur allègre, j’ai escaladé quatre étages.
Le palier atteint, j’ai déboulé en coup de vent au contentieux. Là, stupeur, nul signe de bienvenue, pas même de la blondasse, ma voisine, qui me saluait d’ordinaire. La bouche gourmande, sa comparse aux yeux ronds dévidait à Gros-nez un chapelet de maladies, rougeole, coqueluche, varicelle et tutti quanti. Le champ des mots en était submergé. Pour le plaisir de contredire, j’ai déclaré tout de go : « Moi, je me porte comme un charme ! » En retour, on m’a renvoyé : « Quelle insolence ! » D’un bloc alors, le trio m’a tourné le dos.
Curieuse société où je m’étais fourrée ! S’offusquer pour une vétille ! Avais-je trop forcé sur l’ironie ? N’être pas un as de l’humour, honni soit qui mal y pense. Pour me venger, j’ai affublé les dactylos de sobriquets : Crin-jaune et Yeux-ronds assortis à Gros-nez. Quant au chef, il méritait l’anonymat.
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Au comptoir, Théodore Blanchard vient d’achever ses comptes. Les mains lavées, il passe sa veste grise. Ayant balayé le plancher, son épouse ôte son tablier et rajuste sa robe noire. À cet instant, notre pèlerin pénètre dans la boutique. Sans mot dire, Honorine lui tourne le dos, faisant mine de ranger des bocaux. Poli, Théodore le sert. L’inconnu arrive de loin. Ses yeux expriment la fatigue et la méditation. Muet sur son périple, il n’est pas plus loquace sur sa destination. Ayant payé, il sort une brochure de son sac et la pose sur le comptoir. Puis il désigne un point sur une carte en prononçant avec un accent chantant : « Mi país, l’Equateur ! » Après un silence, il fait un salut bref à l’épicier, ouvre la porte et disparaît.
Théodore n’a guère le temps de s’appesantir sur l’étranger. Honorine piaffe d’impatience à ses côtés. Avec un soupir, il dissimule la brochure sous une pile de journaux.
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Pour en venir à l’eau elle-même, j’ai voulu m’y mirer. Mais en la fixant, quel effroi d’y surprendre une ombre en train de m’observer ! Comme un vent perfide s’était levé, il flottait sur sa surface trouble et muette un malaise aussi oppressant qu’un maléfice.
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Dans l’enfer d’une grotte sacrée, il souffle un air flamboyant. Un sort funeste la revêt de sang. Là vivent les oiseaux de feu à l’ardent plumage de flamme. Leur retraite est la solitude, leur univers les ténèbres. Au crépuscule résonnent leurs cris si stridents que l’Indien effrayé invoque ses ancêtres. Parfois, l’un d’eux chemine vers la grotte, portant au creux de sa paume le portrait de l’aimée disparue. A genoux, il implore son retour du monde du sommeil. Lorsque tournoient les oiseaux sanglants, il frémit car en échange, ils exigent la mort d’un proche. Dès lors, quand un être revient, un autre entame l’ultime voyage.
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Martine Salucci
Nuit glissante où le fil des pensées vagabonde en l'attente du sommeil. On peut se nourrir d'idées dénouées, voire de songeries à n'inscrire nulle part. A moins de raviver des souvenirs d'hier ou du quotidien. Un voyage en soi atteste au moins d'une humeur si on a la sensation de n'aboutir à rien. Egrainer réflexions, images, souvenances ou rêveries, c'est leur accorder existence et élargir le champ du possible, magique alchimie au cœur de l'ombre.
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Martine Salucci
Ceci établi, il est temps d’embrayer sur les bureaux d’employés. Ma mémoire en est saturée. Il va de soi que tous se ressemblent, une évidence criante. Leur platitude évite de se sentir dépaysé. Le contentieux sans promesse n’échappe pas à cette règle. Une fois pourtant, cet endroit m’a ébahie. L’ayant surpris sans signe de vie, j’en ai éprouvé une étrange sensation funèbre.
Par acquit de conscience, il est bon de lui insuffler vie. Ajustées à leur place, mes collègues forment un tout complet, uniformisé. Mais avec moi intervient le désordre. Alignées en rang de deux, nous formons un quadrilatère homogène. Aussi, chaque matin, je recule un peu mon bureau. Foin de la géométrie ! On le remet vite en place sitôt que j’ai affaire ailleurs. Est-ce ma faute si ce vase clos promène un incurable ennui ?
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Martine Salucci
Grande voyageuse des ombres, j’aimais me couper du monde, lui échapper. Quelle joie de conquérir les largesses d’un territoire vierge, au hasard des climats et des saisons ! Avec engouement, je m’évadais sans effort afin d’aborder un univers mille fois plus chatoyant que la réalité. Au cœur d’un espace ajusté à mes désirs, je faisais surgir ici un palais de cristal, là une tour de Babel, ailleurs un rivage battu par les vagues. Un parfum, une épice singulière répondaient à ma soif d’étonnement. Prête à multiplier les audaces, j’osais me hasarder sur des sables mouvants, musarder en plein désert, escalader des monts vertigineux. En pays de cocagne, tout s’accordait par miracle, tout tenait du prodige. Ma ferveur ne se lassait pas de célébrer un monde réinventé.
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