Je suppose que j’ai un prétendant, mais je ne suis pas encore très habituée à lui. Il est terriblement charmeur et me comble de repas succulents, et, pourtant, je me dis parfois que je m’accommode mieux des prétendants des livres que je lis que de ceux que j’ai devant moi. Comme ce serait lâche et pervers de ma part si c’était vrai.