Citation de collectifpolar
On était lundi matin, et Jerry et Grace étaient devant la porte de Laurie en train de se raconter ce qu’ils avaient fait pendant le week-end. De son poste d’observation, elle comprit que Grace en faisait des tonnes à propos de la beauté à tout casser de son dernier admirateur.
« Et où l’as-tu déniché celui-là ? demandait Jerry.
- Tu dis ça comme s’il y en avait des milliers, rétorqua Grace. Et pour être claire, c’est juste un flirt, rien de sérieux. J’ai rencontré Mark – celui-là comme tu dis – au practice du Chelsea Piers.
- Ah, parce que tu joues au golf ?
- Je suis une femme douée de mille talents. Les tenues sont adorables et les autres joueurs aussi ; comment veux-tu que ça ne me plaise pas ? Et en fait de surprise, tu es bronzé ou quoi ? »
Laurie se rendit compte qu’elle prêtait plus d’attention à leur bavardage qu’au mémo qu’elle rédigeait pour l’équipe marketing du studio.
« Et où l’as-tu déniché celui-là ? demandait Jerry.
- Tu dis ça comme s’il y en avait des milliers, rétorqua Grace. Et pour être claire, c’est juste un flirt, rien de sérieux. J’ai rencontré Mark – celui-là comme tu dis – au practice du Chelsea Piers.
- Ah, parce que tu joues au golf ?
- Je suis une femme douée de mille talents. Les tenues sont adorables et les autres joueurs aussi ; comment veux-tu que ça ne me plaise pas ? Et en fait de surprise, tu es bronzé ou quoi ? »
Laurie se rendit compte qu’elle prêtait plus d’attention à leur bavardage qu’au mémo qu’elle rédigeait pour l’équipe marketing du studio.
