Ceci fut probablement la première fois ou K fit mention de ce qu'était pour lui la «véritable» méditation- «faire des découvertes inattendues et surprenantes à l'intérieur de soi» sans ancun but ni aucune direction. Au cours de ce genre de période, son esprit était des plus pénétrant, incisif et alerte. L'idée communément comprise de la méditation, apaiser l'esprit en le maintenant fixe sur un mot ou un objet ou pratiquer une autre quelconque forme de technique était pour K inutile et engourdissant.