Que ce soit
L’hiver ou le printemps
L’été ou bien l’automne
Sur mes jours en cadences inégales
De pauvre hère
Jeté dans l’océan du monde,
Tu es là
Avec tout au fond du cœur
Cette tendresse fraternelle
Expression bienveillante
D’une amitié immuable
Qui me dit
«Va, tu n’es point seule!»