La terre des Cévennes aime les forêts de châtaigniers, nourrit les fortes racines qui ne veulent pas périr. Elle se montre avide d'air et de soleil, faisant pousser, voraces, de tous les côtés, ces plantes de la Garigue.
C'est à travers cette végétation sauvage que les chemins creux se fraient une route tortueuse et sombre. A présent que de larges routes relient les villages, ils ne servent plus qu'à conduire aux fermes, aux champs, mais parfois ne mènent à rien.