Le jour, elle lutte pour résister au naufrage, un pas après l'autre, titubant la canne à la main, s'accrochant aux rebords des tables, aux bras des fauteuils, pour éviter de s'effondrer sur le plancher. La fameuse chute qui conduit au cimetière. La lutte est sans merci. La nuit, elle dort sans dormir pour ne pas se laisser engloutir par la mort. (p. 111).