Au confluent de l’Orient et de l’Occident, de la magie et de la science, de la science et de la philosophie, le Picatrix illustre la richesse d’un savoir hérité des Grecs et des Indiens et développé par les Arabes en Espagne, avant d’atteindre la latinité médiévale qui le recevra de façon ambivalente. (intro., pp. 37-38)