Dans l'Italie du XVIème siècle, les dessins ne sont plus seulement des objets fonctionnels: l'intérêt qu'on leur porte conduit même aux premières collections de feuilles de maitres.
Le dessin touristique participe à ce mouvement comme en témoigne la copie très aboutie de la fresque du jugement dernier de Michel Ange, produite par un atelier roman pour satisfaire l'envie d'emporter un souvenir précis du chef d'oeuvre.