Friends avait été un refuge, un havre de paix pour moi. La série m’avait donné une raison de me lever le matin, et une raison d’y aller un tout petit peu moins fort la veille au soir. C’était le meilleur moment de notre vie. Comme si on avait de bonnes nouvelles chaque jour. Même moi, je savais qu’il fallait vraiment être barjo (ce qui m’était arrivé plus d’une fois) pour foutre en l’air un job pareil.