Si l’habitude d’écrire à la main, de se déplacer à pied, de prendre le temps de faire les choses par soi-même, ne sont effectivement que de vieilles reliques ; s’il faut se résoudre à dépendre entièrement du gigantesque système socio-technique qui nous sert (de plus en plus) de prothèse dans tout ce que nous faisons.