Le garçon avait choisi la basilique pour deux bonnes raisons. La première concernait bien entendu la hauteur impressionnante du bâtiment†; la deuxième, mais non la moindre, avait trait à la proximité du fleuve Arno. Dans l’éventualité probable d’une quelconque anomalie durant le vol, Leonardo pouvait espérer finir sa course dans l’eau du fleuve. Cette option n’était possible que si l’appareil réussissait à franchir les deux cents mètres qui séparaient la basilique de la rive du fleuve Arno.