Au boulot, ce n'était guère mieux : mon point de vue était jugé discutable par mes collègues et mes supérieurs. Sans prendre explicitement la défense des grévistes, je les justifiais. Et ça ne plaisait pas qu'un flic ne soit pas clairement du coté de l'ordre.
Plutôt amusantes, ces positions déontologiques venant de flics marseillais qui, de génération en génération, avaient grenouillé tantôt avec la pègre, tantôt avec le pouvoir local, exception faite de gars comme Morand.