Cependant elle me paraissait manquer de ce qui peut charmer ou séduire un garçon vraisemblablement gâté sur le chapitre des conquêtes féminines. Sabine était élégante, mais sans cette aisance, cette grâce, qui caractérisent à la fois la Parisienne et la femme du monde. Elle semblait n’avoir pas fini de dépouiller ses façons provinciales et je n’arrivais pas à l’imaginer pâmée dans les bras d’un amant.