Alors, vous aimez les romans de Françoise Davrey ? demanda-t-il.
Ses romans ont une fraîcheur telle qu’ils m’ont souvent donné l’impression d’y retrouver un peu de mon enfance. Et puis, ils sont si différents des contes bleus que l’on a coutume de lire !
Ça c’est vrai. Ils m’ont réconcilié avec un genre de littérature dont, à tort, je médisais.
Le rire d’Aliette sonna clair dans la pièce.
Ces romans sont-ils d’ailleurs vraiment des contes bleus ? Il me semble que François Davrey a créé un genre nouveau : le roman blanc si je puis dire.