On ne connaît pas le destin des mottes de terre quand on vole en avion immobile sur la ville et qu'on bouge seulement en sens unique, aux carrefours sans rencontre, privilège des vivants observés par l'inerte méditant sans pensée arrière la supériorité provisoire, l'oubli des nombreux pour le seul qui réfléchit dans le miroir des vitres.