Depuis l’autoroute, je pouvais voir ces petites bourgades touristiques remplies de voyageurs et de visiteurs du weekend. Elles étaient propres, structurées, pleines de terrasses confortables et de magasins à la mode. A chaque fois que l’on passait près de l’une d’entre elles, des notifications éclairs passaient sur mon terminal, me suggérant de consommer ceci ou cela dans tel ou tel établissement. Mais moi, ce qui m’attirait davantage, c’était ces chemins terreux en arrière-plan, qui menaient on ne savait où, se noyaient dans le néant forestier.