Bien sûr, il aurait fallu ne jamais sortir des tapis, rester mourir dans ces jardins aux cyprès mystiques, aux oiseaux légendaires, ne plus accepter de respirer un autre air que celui des nœuds tressés, ne plus se nourrir que du grenadier immense, et ne plus boire une autre eau que celle dont l’essence unit ciel et bassin, au champ central du plus beau des Bakhtiars...