L'homme n'est q'un enfant dans l’échelle de l'évolution. Une bête sauvage qui se croit évoluée.
A force de bourrage de crane, l'humanité toute entière s'est persuadée d'être habitée par une force supérieure, alors qu'elle n'est qu'un prédateur provisoirement au sommet de la chaîne alimentaire.
La prétention de la civilisation a lénifié l'impact des instincts de l'homme, que les guerres - si bassement animales - continuent d'entretenir au fond de chaque être. L'humanité dort sur un baril de poudre.