Plus tard dans la nuit, il posa sa main sur le sein mou qui pointait dans sa direction. La peau était flasque, mais les gants interdisaient toute sensation directe. Une fois encore, il fut tenté d'en retirer un, juste le temps de toucher ce sein, de le malaxer un peu, de le posséder dans le creux de sa paume. Il leva les yeux et découvrit le visage crispé de frayeur et d'agonie, puis le front brûlé par l'acide qui dissimulait le pentacle.