- Comme les oiseaux doivent mourir l'hiver ! Pourtant lorsque viendra le temps des violettes... Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes...
Johnny aimait bien réciter ça lorsqu'il était sur le point d'en finir. Il ignorait pourquoi, juste qu'il aimait entendre ces mots.
Il ouvrit l'armoire et fit coulisser le panneau du fond, pour entrer dans son antre.
- Dans le gazon d'avril ou nous irons courir. Est ce que les oiseaux se cachent pour mourir ? Conclut-il.