A leurs yeux, les pauvres ne seraient que le grain à moudre dont la société a besoin pour avancer. Il est même de bonnes âmes pour professer qu'un tel ordre des choses a été voulu par Dieu. A défaut d'être humain, leur système ne manque pas de logique. Pour qu'il y ait une classe dominante, il faut bien une classe d'opprimés. Aux uns la puissance et la prospérité, aux autres l'asservissement et la misère.