Le jour où je quittai sa maison, maman me libéra en me démontrant qu’elle était de mon bord. Je me rendis compte qu’elle m’était devenue très proche et qu’elle m’avait libérée. Elle m’avait libérée d’une société qui aurait voulu que je me voie comme la plus inférieure des inférieurs. Elle m’avait libérée pour que je puisse vivre ma vie (p. 73)