… on capture tout ce qu'on peut tant que le lac demeure visible, et s'étire, velouté, lisse, miroir du ciel, pas une ride sur l'eau, seule une barque solitaire quasi immobile dans le soir qui tombe, quand dans le Transsibérien, dans le couloir des voitures de première classe, c'est une ambiance du feu de Dieu.