« – Je suis désolée Calum d’avoir semé la zizanie entre vous.
L’homme que j’aime me relève le menton et m’oblige à le regarder.
– Eh, ne le sois pas, tu es la plus belle chose qui me soit arrivée.
– C’est vrai ? lui demandé-je, le cœur au bord des lèvres.
– Oui. « Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde… »23 »