Je retrouve le rythme, respire plus doucement, plus lentement, et le silence s’amplifie, noir malgré la lumière déclinante de la lucarne. L’immeuble aussi semble déserté par les voix, les cris d’enfants, les conversations, les aboiements, peut-être parce qu’il est tôt et que ses occupants ne sont pas encore rentrés du travail ou alors ils sont paralysés par la confusion que l’absence d’électricité a générée.