Comme tout aurait été simple s’il avait eu la foi. Mais voilà, il ne croyait ni à la religion des Juifs, ni à la Résurrection, ni à l’essence divine des icônes. Il trompait son monde, et s’il lui arrivait de le regretter, très vite il se faisait une raison. Peu lui importait qu’il eût ou non la foi, il croyait en la beauté, en celle des icônes, en la consolation qu’elles offraient.