À une époque, quand on rompait avec quelqu’un, si la personne n’avait pas le même code postal, on ne le revoyait jamais. Parfois, on n’en entendait même plus jamais parler. Je ne suis pas fan de cette alternative moderne qui offre la possibilité de devenir spectateur de tout ce que fait notre ex jusqu’à la fin de ses jours, simplement en tapant son nom dans la barre de recherche de Facebook.