J’essaie de ne pas trop réfléchir à ma poitrine exposée, à mes parties intimes, alors je ferme les yeux, essaie de me souvenir de ces heures sans fin passées dans les cabinets médicaux pour une maladie qui n’était pas la mienne. Si j’étais si blasée à l’époque, je peux l’être maintenant. Cela m’empêcherait de trembler comme si j’étais en hypothermie.