Dès les premiers mois qui ont suivi la naissance de mon fils, j'étais tellement heureuse et reconnaissante d'avoir enfin l'immense joie d'être mère, qu'en pleine nuit, je me suis réveillée en me disant qu'il fallait absolument que je partage avec d'autres femmes mon parcours et les déclencheurs qui m'ont permis de devenir enfin maman.
Lorsque, forte de ces informations, j'ai recommencé quelques mois plus tard, je sentais au fond de moi que j'étais confiante. Confiante dans le fait que je savais que j'avais mis toutes les chances de mon côté, confiante de savoir que je serais mère un jour, peu importe quand et peu importe comment, je savais que je serais maman.
Selon les analyses statistiques des chercheurs, la probabilité d'une grossesse était réduite de 46% su les participantes se sentaient stressées durant la période d'ovulation.
Et le fait que ces femmes aient déjà un premier enfant ou non n'a aucune incidence : le stress réduit leur chance de la même manière.