- Oui, mais toi, ce n'est pas pareil.
- Pourquoi ?
- Parce que toi, je t'aime.
Astrid resta longtemps silencieuse. Sam crut qu'il l'avait contrariée. Pourtant, elle ne desserrait pas son étreinte et gardait le visage enfoui contre son cou. Il sentit ses larmes rouler sur sa peau.
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle enfin.
Sam poussa un soupir de soulagement.
- Bon, voilà une bonne chose de réglée.