Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Huddersfield , le 26/06/1931
Mort(e) à : Southampton, New York , le 29/05/2005
Né(e) à : Huddersfield , le 26/06/1931
Mort(e) à : Southampton, New York , le 29/05/2005
Biographie :
Michael F. Kenyon est un écrivain britannique, auteur de roman policier.
Il fait des études au Wadham College de l'Université d'Oxford et grâce à une bourse, pendant un an, à l'Université Duke en Caroline du Nord. Il travaille comme reporter à l'Evening Post de Bristol, au News Chronicle et au Guardian de Londres.
Puis, il enseigne le journalisme à l'Université de l'Illinois pendant dix-huit mois avant de se consacrer à l'écriture.
Il s'installe définitivement aux États-Unis, à Southampton, à la fin des années 1980, enseigne au Southampton College et devient citoyen américain en 1997.
En 1965, il publie son premier roman "Voir l’Irlande et mourir" ("May You Die in Ireland"), un roman d’espionnage, qui obtient un succès immédiat.
Son second roman traduit en français "Viol à l’irlandaise" ("The Rapist", 1977) se déroule en Irlande comme une grande partie de ses autres romans.
Il est également l'auteur de deux séries, celle du Superintendent O'Malley, un policier irlandais, et celle de Inspecteur Peckover, un policier de Scotland Yard et poète.
+ Voir plusMichael F. Kenyon est un écrivain britannique, auteur de roman policier.
Il fait des études au Wadham College de l'Université d'Oxford et grâce à une bourse, pendant un an, à l'Université Duke en Caroline du Nord. Il travaille comme reporter à l'Evening Post de Bristol, au News Chronicle et au Guardian de Londres.
Puis, il enseigne le journalisme à l'Université de l'Illinois pendant dix-huit mois avant de se consacrer à l'écriture.
Il s'installe définitivement aux États-Unis, à Southampton, à la fin des années 1980, enseigne au Southampton College et devient citoyen américain en 1997.
En 1965, il publie son premier roman "Voir l’Irlande et mourir" ("May You Die in Ireland"), un roman d’espionnage, qui obtient un succès immédiat.
Son second roman traduit en français "Viol à l’irlandaise" ("The Rapist", 1977) se déroule en Irlande comme une grande partie de ses autres romans.
Il est également l'auteur de deux séries, celle du Superintendent O'Malley, un policier irlandais, et celle de Inspecteur Peckover, un policier de Scotland Yard et poète.
Source : Wikipédia
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Citations et extraits (2)
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Foutu Youpin pensait le policier. Youpins, Négros, Boches, foutus maquereaux, violeurs anglais et hollandais, qui se figurent que tout leur appartient ; le pays en est infesté. (...) Rageur, et pédalant très vite, très vite pour s'éloigner de la maison du péché, le garda Corcoran cria aux pâturages et aux vaches :
- Ordure ! Ordure et corruption !
Il avait aperçu les mamelons de la femme, les petites pointes brunes. C'était des violeurs et des étrangers, tous tant qu'ils étaient.
- Ordure ! Ordure et corruption !
Il avait aperçu les mamelons de la femme, les petites pointes brunes. C'était des violeurs et des étrangers, tous tant qu'ils étaient.
L'inspecteur Briscoe l'intercepta, la mine sombre, et le suivit dans le couloir.
- Il y en a eu deux autres, dit Briscoe.
Briscoe, l'éternel second. Un homme plus petit que nature qui rivalisait, par l'aspect et l'efficacité, avec le linoléum usé du poste central. Pas mauvais mais navrant. Le lieu idéal pour Briscoe, c'était un bureau voisin, hors de la vue et de l'esprit tant qu'on avait pas besoin de lui, comme un parent lointain qui aurait mauvaise réputation. Briscoe n'avait pas mauvaise réputation, ça lui aurait conféré un certain mystère, mais il était décourageant ; c'était un messager de malheur et de défaite.
- Il y en a eu deux autres, dit Briscoe.
Briscoe, l'éternel second. Un homme plus petit que nature qui rivalisait, par l'aspect et l'efficacité, avec le linoléum usé du poste central. Pas mauvais mais navrant. Le lieu idéal pour Briscoe, c'était un bureau voisin, hors de la vue et de l'esprit tant qu'on avait pas besoin de lui, comme un parent lointain qui aurait mauvaise réputation. Briscoe n'avait pas mauvaise réputation, ça lui aurait conféré un certain mystère, mais il était décourageant ; c'était un messager de malheur et de défaite.
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