Et voilà bien ce qui m’effraie, chez Joe : on a parfois l’impression qu’il pourrait vous ouvrir le crâne et lire dans vos pensées, comme d’autres dans le marc de café. Face à un type pareil, mieux vaut garder ses distances, de peur qu’il ne finisse par vous tendre un miroir qui vous renverrait l’image que le monde a de vous.