"En rentrant, je croisais parfois Mila. Chaque fois, quand je la sentais qui se rapprochait de moi, j’étais alors comme l’Hébé sur l’île d’Ouessant qui tremble dans les bras du vent. Elle agitait mes branches, faisait siffler mon anche en modifiant les veines à l’intérieur du tronc."