L'homme qui a vécu avec les préjugés n'accueille qu'avec défiance la nouvelle venue, qui tend à midifier, à détruire même des combinaisons et des idées arrêtées dans son esprit, à le forcer, en un mot, à se mettre de nouveau à l'oeuvre, pour courir après la vérité. Il se sent d'ailleurs humilié dans son orgueil d'avoir vécu dans l'erreur.