Je suis toujours étonné du nombre de patients qui viennent me consulter à mon cabinet parisien et qui, en fait, pourraient s'en dispenser.
Je m'explique.
Ils ne se sont pas trompés de porte. Je peux, certes, les aider, mais leur cas est si simple qu'ils peuvent très bien se soigner eux-même.
Comme le faisaient leurs grands-parents.
Peut-être même leurs parents.