Claude avait peur des banalités, des redites, des mots galvaudés : euphorie, égarement, crise, compassion… Alors nous cherchions à contourner l’obstacle. « C’est comme l’écriture d’un scénario », me disait-il. Et, de fait, une histoire naissait, prenait son envol. La vie venait avec, sans se hausser du col. Les sentiments avec les images, le métier de vivre et le métier du cinéma.