Au début de la guerre, Paris était recouvert d’affiches qui disaient : “Nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts !”. Et du jour au lendemain, tout s’effondrait. Je n’ai pas supporté ce mensonge. Quant à l’Occupation, ce fut une période abominable, honteuse… Mais elle a forgé ma capacité à ne plus me faire aucune illusion sur ce monde.