Autrefois, le porche voyait passer les voitures à chevaux. Et sans doute, les premières de Dion-Bouton pétaradantes, avec leurs conducteurs engoncés dans des peaux de loups comme des explorateurs du Spitzberg. Il restait les grès taillés qui de chaque côté du portail protégeaient à la fois les roues cerclées de fer des fiacres et les pierres du mur.