L’argent, le confort ou les esthéticiennes ne peuvent rien contre cette douce puanteur. Passé un certain âge, aucun onguent, aucun parfum coûteux ne masque bien longtemps le pourrissement naturel. Il n’y a qu’à passer l’après-midi dans notre salle de réception, au milieu d’une centaine de fêtards du troisième âge pour en être convaincu. Les vieux puent.