Elle était Ariane qui dévidait le fil de ses lectures dans sa mémoire labyrinthique...Il y avait là le parfum d'un rite initiatique dont il ignorait tout des raisons, des étapes et, plus inquiétant encore, de la finalité. Pourquoi en avait-il accepté le risque ? N'était-ce pas le risque même qu'on prend chaque fois qu'on ouvre un livre ? (p. 245)