Panaït Istrati. Celui que Joseph Kessel qualifiait, dans la préface du premier tome, de "vagabond roumain", passionné de Romain Rolland et de tous ceux que le massacre inutile de la Grande Guerre avait à jamais révoltés, et qui fut tour à tour peintre en bâtiment, forestier, ouvrier, paysan, débardeur...sans cesser d'apprendre ce qui était pour lui la langue de toutes les libertés : le français. (p. 129)