Les pensées nécessaires à la survie qui vont et qui vien- nent ne gênent pas plus la tranquillité que les oiseaux se perchant et s'envolant dans un arbre immobile... mais la survie biologique n'est pas la survie psychologique. Les pensées de la survie psychologique prolifèrent et se multiplient empêchant toute expression de la tranquillité.