Nadège, si menue, si fragile ! Si belle et si attendrissante, avec ses immenses yeux noirs ouverts comme une prière sur l’amour, avec ses lèvres humides de baisers, ses petits seins arrogants qui aiguisaient l’impatience des doigts. Nadège avec ses cuisses toujours avides de s’ouvrir à la caresse, et cette béance moite à l’ombre du désir appelant le désir…