A Rome, Mozart, entendant le fameux Miserere d'Allegri, fait preuve d'une mémoire et d'une maturité musicales hors du commun. Propriété exclusive de l'auguste chapelle Sixtine, il est formellement interdit de copier cette œuvre. Beaucoup ont essayé de la transcrire, en vain. Wolfgang, lui, va réussir l'exploit ; après deux auditions seulement, il couche sur un papier, dissimulé dans son chapeau, les neuf voix d'un morceau qui, depuis, a fait le tour du monde.