À l'autre extrémité de ce livre plutôt épais, une copieuse bibliographie (environ 500 items) confirme qu'après 1952, Michel Parreau se retrouve seul en France à aborder cette question (y figure aussi l'article cosigné par Marcel Brelot et Gustave Choquet «Espaces et lignes de Green» qui se trouve d'ailleurs dans le fameux tome 3 de 1951 des Annales le l'Institut Fourier, juste à la suite de la thèse de Michel Parreau «Sur les moyennes des fonctions harmoniques et analytiques et la classification des surfaces de Riemann». Les deux articles se citent mutuellement).
Mais avant, il sera instructif d'ouvrir, naïvement, l'Écriture (sainte ?), c'est-à-dire le livre Classification Theorp of Riemann Surfaces écrit en 1970 par le Finlandais (en poste à Los Angeles) Léo Sario et le Japonais (en poste à Na-goya) Mitsuru Nakai. À la page vi de la préface, on constate sans peine que, dans la liste pourtant restreinte de mathématiciens ayant fait significativement avancer le sujet, le nom de Parreau est quelque peu noyé au milieu de noms Scandinaves, japonais et roumains.