Cellendhyll se laissa inonder, emporter par la délivrance, cette vague irrépressible que l'on appelait la petite mort et qui, au fond, glorifiait les forces de la vie. Il se laissa emporter, fétu perdu dans un courant extatique, ivre, sans force, comblé de ce qu' Estrée avait produit, tiré de son corps en matière de jouissance, le transformant, lui, le guerrier impitoyable, en une victime soumise, offerte, reconnaissante.