Alors, en cet instant précis, tout se justifie, s'équilibre, s'éclaire. Quelques instants, entre la fournaise et le supplicié, la brûlure et la clarté, il n'y a plus l'ombre d'une différence. Avant de s'éteindre, l'âme embrasée est devenue, dans un suprême spasme, cette torche qui fait reculer la nuit.