Ma foi, je ne sais pas toujours finir. Beethoven ne le savait pas davantage. Et Goethe ? Le don de conclure appartient trop souvent aux imbéciles, aux impuissants. Je ne sais pas finir, parce que la vie ne finit pas. Il faudra pourtant que je retravaille un petit peu cette fichue lettre de Wallenstein à sa maîtresse...